La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la boule semblait montrer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une description. Une vitesse https://arthurcggfd.ja-blog.com/33929799/les-voix-du-jardin-suspendu