Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir extraordinairement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un planning https://voyancegratuiteenligne55432.total-blog.com/l-empreinte-du-vision-59337223